A tous les être vivants aérobies, voici un lieu à mettre dans vos favoris: http://deus.irceline.be/~celinair/actair/animated_maps.php?lan=fr .Ce site vous présente une carte animée des polluants en Belgique. Comme vous pouvez le voir, Bruxelles n'est pas toujours la plus polluée (sauf ozone, mais c'est en été).

Le 4X4 du XXIème sciècle sera à l'image de son conducteur: Beau, sobre et intelligent. Infatigable à la tâche et capable d'accomplir sans broncher de lourdes tâches.
FOURNISSEUR exclusif: http://www.asineriedupaysdescollines.be/

Note: défense de faire du mal à ces quatre quatres là!

Comment expliquer celà en quelques mots? D'autres l'ont déjà fait pour moi quant aux implications au niveau global: décroissance.org, imagine-magazine.be, négawatt, ASPO (peak oil) et... par l'absurde, The united States of America. En un mot, ne croyons plus au mythe de la croissance éternelle. Vivons plus simplement pour pouvoir vivre mieux, plus équitablement. Ne cherchons pas de solutions techniques 'miracle' aux problèmes d'environnement et d'énergie. Plutôt que cette frénésie de consommation, calmons nous et vivons.

Mon expérience plus personnelle de la décroissance tient à la recherche de la richesse. Est riche celui qui possède bien plus que ce qu'il n'a besoin et que ce qu'il ne désire. La rareté lui est inconnue. Il a tout ce qu'il veut.

Pour être riche, 2 solutions:

1) Agir sur l'offre

2) Agir sur la demande

On peut agir sur l'offre et rechercher frénétiquement à posséder plus, à manger plus, à boire plus, à fumer plus, à rouler plus vite, à gagner plus, .... cette solution mène à un cul de sac: puisque l'on peut toujours désirer plus, jamais la richesse n'est au bout de cette voie là. Les solutions se tarissent. Il y a toujours plus et mieux, mais, jamais assez.

On peut également agir sur la demande et tout simplement désirer moins. On ne peut réduire ses besoins, mais des vaccins efficaces existent contre les envies artifielles créées de toute pièces par la propagande commerciale (pub) pour nous rendre malheureux, dépendants et serviles.

En d'autre termes, jouir et être heureux de ce que l'on a et surtout savourer les choses simples et hors commerce: un après-midi d'automne, un verre d'eau fraiche ou une bonne bière.

La véritable richesse prend alors tout sons sens et est à portée de main, et disponible pour tous, comme une énergie inépuisable et renouvelable: en nous mêmes.

Une espèce malfaisante veut nous entraîner dans le mauvais choix pour nous asservir: la pub. Les mercenaires intellectuels au service du marketting des dealers de bonheurs chimériques.